Wolfgang possède un mode d'insertion de texte, qui ne peut être considéré comme un « traitement de texte ». Les textes y sont traités par blocs non solidaires les uns des autres. On peut considérer une équivalence entre un bloc et un texte.
Les textes sont dissociés par blocs. Ces blocs peuvent contenir une ou plusieurs lettres, espaces, caractères spéciaux, mais une seule Police par bloc. Chaque bloc est indépendant et peut être traité comme tel.
Un bloc est une chaîne de caractères tel que « Violino primo ». Ce bloc appartient à une Catégorie, ce qui permet ensuite de traiter les blocs appartenant à une même catégorie. Par exemple, il est ainsi possible de changer la police ou la taille des différents blocs appartenant à la catégorie Instruments sans que les autres blocs ne soient influencés.
En dehors de ce traitement global, chaque bloc est un objet que l'on peut traiter individuellement, aussi bien au niveau de ses attributs (style, orientation), que pour sa position dans l'espace.
Les catégories Dynamique et Chiffrages sont soumises au même principe, mais les caractères de ces polices sont un peu différents d'une police de texte normal. La différence essentielle est l'offset négatif donné à certains caractères, tels que les nuances, par exemple. Ainsi l'on peut positionner la plupart des signes sur l'emplacement horizontal exact de la note à laquelle le signe se réfère. Cela permet, lors d'une réorganisation des différents objets dans l'espace, de maintenir la position de ces blocs de texte relativement à la note (ce qui est clairement indispensable s'il s'agit par exemple de syllabes de chanson).
Les blocs sont répertoriés par catégories.